Publié dans Sport

Jeux africains - « Seules les disciplines médaillées iront au Ghana »

Publié le jeudi, 01 février 2024


Le Conseil des ministres de cette semaine a adopté le financement de la préparation des athlètes en vue des Jeux africains qui auront lieu à Accra Ghana, le mois de mars prochain. Surement, Madagascar sera présent à la grande messe du sport africain.  Faut-il- rappeler que la Grande île a fini 7e au classement de médaille avec six médailles d’or, quatre d’argent et deux de bronze lors de la dernière édition qui a eu lieu au Maroc en 2019.  La délégation malgache a réalisé sa meilleure performance dans toute l’histoire des Jeux africains. Effectivement, la barre sera placée plus haute pour cette édition 2024 pour faire encore mieux.   Le ministre de tutelle, André Haja Resampa n’ira pas de main morte sur le sujet des disciplines qui seront envoyées à cette joute.  D’ailleurs, cela confirme le leitmotiv du Président de la République malagasy, Andry Rajoelina qui dit souvent que « « Le plus important ce n'est pas de partir en mission, mais de réussir sa mission ». C’est valable aussi pour les sportifs malagasy.
Objectif top8
 Relativement à cela, le patron du sport n’a pas eu la langue en poche pour exprimer son point de vue. « Il est  hors de question d’envoyer des disciplines sportives en quête d’expérience internationale aux jeux africains. Autrement dit, il n’y aura que des disciplines médaillées qui représenteront le pays. Ce n’est pas le moment de s’expérimenter. Hormis les disciplines en quête de qualification olympique, seules les disciplines médaillées, comme le basketball 3 contre 3, l’haltérophilie, et entre autres le judo feront partie de la liste de la délégation malagasy».
Par ailleurs, ce sera l’occasion pour les athlètes malagasy d’exprimer davantage pour briller de nouveau au niveau continental. Madagascar envisage d’envoyer six ou sept disciplines pour accomplir la mission. Il reste à savoir quelles  seront les quatre disciplines pourvoyeuses de médailles pour le pays.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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